Découverte des dessous d'un système ....

Mr L. a tenu parole en partie, pressé de m’écrire, il m'envoie un recommandé vers le 10 Janvier 2008 soit quinze jours après son appel, m’indiquant la fameuse décision de rejet de la commission d’urbanisme et ce sans justifications supplémentaires.

Je ne recevrai jamais de courrier m’indiquant la procédure entamée par la mairie.

C’est alors que je parle de mon affaire quelques jours plus tard à Madame SA, une cliente qui a vu notre boutique se monter depuis le début, et qui ne comprenait pas pourquoi mon dossier ne trouvait aucune autre issue que des refus et des rejets.

Elle m’explique alors bien connaître Monsieur CB. un élu de l’opposition, qui est déjà à plusieurs reprises intervenu dans différents dossiers et me propose de me mettre en relation. Ce que j’accepte, car je commence à perdre patience et confiance.

Après un court entretien téléphonique, il prend connaissance du dossier, et conscient de la gravité de la situation tant sur le plan économique, que moral. Il me demande alors un peu de temps pour agir.

Il prend contact auprès d’une personne qui siège en commission, qui lui apprendra par la suite que mon dossier n’a jamais été présenté au mois de Décembre en commission d’urbanisme comme l’affirmait au téléphone et par écrit Mr L.,  mais seulement à la fin du mois de Février 2008.

Au regard de la loi le courrier que Mr L. m’a adressé en Janvier devient UN FAUX EN ECRITURE PUBLIQUE. 

Nous décidons avec Monsieur CB. de prendre rendez vous avec Monsieur L. afin de comprendre les raisons du refus de la mairie, et essayons d’obtenir des informations claires sur les éléments à déposer pour ne pas essuyer un nouveau refus.

Pendant ce temps le magasin est toujours fermé !