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Colère d'un entrepreneur !

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Colère d'un entrepreneur !
  • Ce blog est mon coup de gueule d'entrepreneur pour expliquer ce qui s'est passé et ce qui se passe encore pour mon entreprise, mais aussi les dessous du système français, l'inégalité des chances, espérant trouver des réponses et/ou des solutions.
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23 janvier 2009

.......... !

Pour ne rien vous cacher, je suis malheureusement contraint aujourd’hui de mettre en vente mon commerce, je ne peux pas continuer à payer indéfiniment toutes les charges fixes de ma poche.

L’idée de devoir m’en séparer me désole, je trouve que toute cette affaire est un gâchis pur et simple, et qu’il est dommage de finir comme ça, compte tenu de l’investissement global.

 Anecdote de cette semaine, ma propriétaire m’a appelée pour essayer de me mettre la pression concernant le loyer en cours, elle a peur que je prenne du retard et qu’elle ne soit plus payée dans quelques temps. Je lui ai rappelé que tout retard a toujours été régularisé dans un délai très court d’une part, qu’elle est en plus systématiquement prévenue lorsqu’il y a un problème, et que d’autre part le mois n’est pas fini. Je trouve mesquin de sa part qu’elle agisse ainsi, elle connaît très bien cette affaire et avec la crise, elle devrait plutôt être rassurée d’avoir un locataire honnête.

 

Une question pour qui voudra bien répondre : que feriez vous à ma place d’une manière globale ?

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23 janvier 2009

Le coup du crédit !

Bref, revenons en à la proposition de la banque. Celle-ci considère donc que la meilleure (et seule) solution soit qu’une tierce personne emprunte pour moi. Et pire encore, la banque me demande une garantie complémentaire à cela, que l’emprunteur accepte de mettre en place une promesse d’hypothèque sur l’un de ses biens immobiliers.

En effet, cette personne ne dispose pas de liquidités actuellement (en tout cas suffisantes pour m’aider), sinon la transaction se serait faite en direct bien évidemment.

Et pour finir la banque m’indique clairement que le prêt sera validé sous réserve que j’accepte de ne plus avoir de facilités de paiement de quelques manières que ce soit.

 

Une nouvelle aberration ! Si on analyse deux minutes tout ça, je ne suis pas interdit bancaire mais le fonctionnement futur imposé par la banque fait que c’est tout comme à 50%, pour une entreprise en difficultés ne pas avoir de découvert autorisé est un vrai problème de fonctionnement,  la banque ne s’engage en rien puisqu’elle ne prend aucun risque et continue de gagner de l’argent dans cette affaire avec des intérêts sur ce crédit plus tous les frais liés au découvert. J’ai d’ailleurs demandé à ce qu’elle procède à une remise gracieuse de ces frais, le directeur d’agence m’a répondu que cela serait possible dans la limite maximum de 50%, sous réserve d’acceptation de sa hiérarchie ….

Aujourd’hui Vendredi 23 Janvier 2009, je me demande comment tout ça va se terminer …. Je vous avoue être un peu en colère contre cette décision car il va falloir en plus montrer patte blanche, en gros d’après le discours de ma banque, il faut considérer quelle nous fait une fleur.

22 janvier 2009

Incompréhension !

La dernière en date ne manque d’originalité !

Ma banque n’ayant finalement pas mis en place la solution du découvert dégressif, j’ai été obligé de me tourner vers un proche pour obtenir de l’aide. Heureusement il y a encore des personnes sur cette terre qui ont la main sur le cœur et qui sont capables de la tendre.

L’idée retenue est que cette personne contracte un prêt en son nom afin que je puisse solder mon découvert qui continue de se creuser à une vitesse phénoménale.

 En effet en moins de 30 jours je passe du simple au double. Il y a deux facteurs à prendre en compte,  le premier est que je génère pas assez de CA actuellement pour calmer le jeu, ayant une faible capacité d’achats, avec la crise l’activité est presque au point mort, et concernant les soldes  je ne peux pas en proposer, je n’ai pas assez de stocks pour être crédible.

Le second est que ma banque me facture des commissions d’interventions à outrance, je peux aisément justifier par exemple une écriture de 889€ il y a trois semaines environ, ou encore des frais de 7€ et 15€ à chaque débit d’un chèque ou d’une carte bleue  plutôt que de mettre une solution temporaire en place afin de limiter la casse. Et en attendant les factures continuent de tomber, il faut bien payer pour continuer de tenir le temps de se relancer, et forcément si à un moment donné ma banque ne me soutient pas un minimum, c’est la banqueroute. Le directeur d’agence a tendance à oublier que j’ai monté ce magasin pour partie de mes propres mains, que j’y ai investi  40 000 € en travaux, deux années de travail dont de nombreux mois sans CA ce magasin est mon seul patrimoine !

 Compte tenu du contexte économique actuel et des sommes faramineuses débloquées au profit des banques, je ne comprends pas la politique adoptée dans cette affaire. Je peux tout à fait concevoir que je deviens pour eux un client fragile, mais justement quel est leur rôle si ce n’est pas de soutenir et d’aider ? Si chaque société qui rencontre des difficultés de trésorerie est traitée de cette manière, quelle sera le pourcentage de sociétés fermées en 2009 pour faillite / liquidation / cessation de paiement, etc …. ?  Et quel sera le chiffre du chômage ?

22 janvier 2009

Explications

Cet article est une parenthèse à toute cette affaire pour répondre à quelques questions.

 

Tous d’abord je tiens à remercier toutes les personnes qui nous soutiennent au travers de ce blog depuis son lancement le 17 Janvier 2009.

Nombreux sont vos mails d’encouragement, le nombre de visites et de pages vues ne cesse d’augmenter de jour en jour. Je suis content de constater que je n’écris pas pour rien.

 

 Pourquoi les acteurs sont cités anonymement pour le moment et pourquoi privilégier le net plutôt qu’un autre support ?

 

Je considère que dans un premier temps il est normal de dénoncer cette affaire et qu’il n’est pas indispensable de nommer tout le monde. Je suis toujours et surtout à la recherche d’une solution amiable avec la Mairie de ma commune, mais je crois qu’une prise de conscience sur leurs actes ne serait pas négligeable.

Pourquoi le net ? C’est l’un des meilleurs moyens de communication actuellement, l’effet de masse peut être très important et surtout très rapide.

Je diffuse ce blog aussi à l’échelle locale, je produis et distribue moi-même ma publicité et je compte sur tous les commerçants de proximité pour m’aider dans cette démarche, et ils jouent très bien le jeu.

 Je pense sincèrement que si une communauté de soutien se forme autour de cette affaire aussi complexe qu’incroyable, cela me donnera peut être une chance supplémentaire d’obtenir des réponses et des solutions.

 

 Avez-vous pensé à la télé, à la radio, aux journaux locaux ?

 

Oui, j’ai déjà entrepris des démarches en ce sens, j’ai contacté des radios comme RMC, BFM, RTL etc… (la liste est longue), ainsi que des chaînes de télés comme TF1, M6-W9,  ou encore Le Parisien …..

 J’ai été re-contacté hier (21/01/09) par une radio connue qui prend très au sérieux mon affaire, j’espère que ça aboutira … Affaire à suivre ….

Et je n’ai pas encore fini de tous les contacter, ce n’est que le début !

 

 Qu’attendez vous dans cette affaire, pourquoi ne l’avoir dénoncée plus tôt ?

 

Concernant la mairie, je leur demande de reconnaître leurs torts en acceptant simplement de me recevoir et de me donner les dernières directives ou exigences, pour ensuite déposer un tout dernier dossier, en vue d’obtenir un accord favorable et définitif.

Je ne demande qu’à exercer mon métier et développer mon fond de commerce ;  le simple fait d’avoir une devanture commerciale non terminée, et pour seul enseigne un bandeau plastifié provisoire, ne me rend pas crédible du tout.

 Je n’ai pas dénoncé cette affaire plus tôt car à un moment donné il y a aussi des priorités à fixer et après tous ces évènements, il fallait au moins retrouver une activité permettant de continuer à faire face à toutes ces mésaventures.

 En revanche je souligne bien que si à un moment donné il n’y a plus de solutions concrètes, j’envisagerai alors de porter une action en justice.

Ce blog en est une par défaut.

 

 Pourriez vous nous dire dans quelle région se passe cette affaire?

 

Bien sûr ! Dans les Yvelines,  département 78.

 

 Etes vous en mesure de justifier par des éléments écris et/ou par des témoignages, ce que vous racontez ?

 

Sans aucun problème car si je me permets de tout dénoncer dans le détail, c’est que je pense disposer de suffisamment d’éléments pour voir cette affaire aboutir. Je ne permettrais pas d’inventer de tels faits.

 

 

20 janvier 2009

Quoi faire ?

En cette fin d’année 2008, chacun d’entre nous a entendu au moins une fois que compte tenue de l’ampleur de la crise et de ses dégâts potentiels, le gouvernement a mis en place des mesures spéciales et a débloqué des moyens exceptionnels.

Concernant les entreprises, cela passe notamment par un renforcement des fonds propres des banques pour continuer de garantir l’accès au crédit des TPE / PME, ou encore des exonérations de charges pour 2009, le soutien de l’organisme OSEO, qui peut garantir jusqu’à 60% d’un prêt bancaire,  la possibilité de solliciter un interlocuteur privilégié : Mr René Ricol, médiateur du crédit, etc …

Ma situation ne s’arrange pas, mon activité vivote, 1) par ce que la crise a freiné d’une manière assez brutale la consommation, 2) par ce qu’avec un magasin à moitié plein, et avec peu de possibilités pour acheter, le potentiel de vente s’estompe.

Novembre est un mois très calme, j’ai du coup du temps pour essayer de trouver des solutions et tenter de récupérer mes impayés. Le résultat sera maigre, j’ai réussi à récupérer les plus petites créances, il reste encore un peu moins de 13 000 € dans la nature. Mon découvert bancaire continue de grandir, bien évidemment ma banque ne se gêne pas pour me taxer de frais divers. Un exemple, une carte bleue rejetée vous coûte : 1) la commission au moment de la vente, 2) lors du rejet vous êtes redébités du montant initial de la cb sans être remboursé de cette commission, 3) vous déclarez ce montant dans votre  chiffre d’affaires et donc payez de la t.v.a même si vous la déclarez ensuite en perte, 4) ce type d’opération est soumis à une tarification spéciale en cas de rejet et les frais sont facilement doublés lorsque vous êtes à découvert. Dans les trois dernières semaines, je peux constater plus de 1000€ de frais, le père noël existe bien pour certains …

Ma banque me propose alors une solution miracle : ma conseillère voyant son directeur pas très décidé à trouver avec elle une solution sur mon dossier, va demander au médiateur de son agence ce qu’il en pense. Il prend donc le solde de mon compte, et propose de mettre en place à ce stade un découvert dégressif par tranche de 1000€ par mois. Ce qui ne me sort pas la tête de l'eau,  car je continuerais de payer des frais et zéro trésorerie pour rebondir. En plus le moindre écart relatif à ce découvert dégressif et boum je pars en banque de France.  

Finalement cette solution ne sera pas mise en place à cause d’un dernier impayé, en effet le médiateur s’était arrêté à un solde de compte précis au moment de sa proposition,  qui ne correspondait plus au moment de la mise en place de cette procédure par ma conseillère. Je continue donc de dégringoler financièrement car les frais fixes et les charges continuent de courir, je paye, ma banque me couvre (et continue" de se sucrer"), et toujours aucunes solutions pour rebondir.

Le mois de Décembre sera catastrophique, je n’ai plus le répondant pour acheter, cela devient même un casse tête pour acheter certaines pièces pour mes maintenances, les fournisseurs en cette période frileuse n’accorde pas d’encours, point mort.

 

J’ai donc pris le taureau par les cornes une fois de plus, j’ai contacté OSEO, après une bref analyse de la situation, mon interlocuteur m’explique que pour obtenir leur garantie, il faut que je demande à ma banque une simulation de prêt validée, que celle-ci leur envoie directement accompagnée d’autres éléments, eux portent leur garantie dans 95% des cas. Il me donne même les coordonnées de la personne responsable du secteur dont je dépends et à qui adresser la demande pour ne pas perdre de temps.

Ma conseillère m’expliquera que ce n’est pas par ce qu’OSEO garanti les prêts professionnels jusqu’à 60% que les banques suivent forcément ou tentent d’utiliser ce moyen, et que de toute façon dans ma situation, le directeur d’agence se refusera à étudier tout dossier pour relancer mon activité.

Il est vrai que l’informatique est considéré comme l’une des activités les plus à risque sur le marché tant pour les banques que pour les assureurs, mais si on pense comme cela alors il n’y a aucune entreprise de la plus petite à la plus grosse dans ce secteur qui bénéficie de quoi que ce soit. Mais c’est quand même aberrant de constater que même en apportant des garanties complémentaires, on n’arrive pas à trouver de solutions.

Quoi dire ........

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18 janvier 2009

Nouvelle descente aux enfers .... !

 Fin Octobre, un certain nombre d’incidents apparaissent sur mes comptes professionnels. Un bon nombre de règlements par carte bleue font l’objet d’une procédure de rejet, et je commence également à voir arriver des chèques impayés.

 Ce nouveau problème ne me rassure pas du tout car mon activité reste fragile, le manque de trésorerie est évident, et il faut jongler en permanence pour tout mener de front.  Le total des incidents s’élève environ à 15 000€. Autant vous dire que c’est un nouveau coup dur qui me décourage et me plonge dans l’incertitude la plus total. Sur une partie des commandes les marchandises ont en plus été livrées ou retirées, j’accuse donc une double perte puisque mes fournisseurs sont payés et que ma banque me re débite.

 

 Concernant une partie des incidents par CB, je me rapproche de la police pour les faits suivants :

Un groupement de professionnels m’a passé commande au mois d’octobre pour des pc portables neufs. Nous ne nous sommes pas entendus d’une manière globale, et avons donc décidé de ne pas donné suite d’un commun accord.

 Et quelques jours plus tard je reçois différentes demandes pour des commandes de pc portables / écrans plats / etc …

 J’encaisse ces commandes par CB VAD, et je reçois à peine 48H00 plus tard un coup de fil d’un homme m’expliquant qu’il a été débité à son insu de plusieurs montants importants pour des achats de matériels informatiques, et qu’il a obtenu mes coordonnées par le groupement de professionnels avec qui je n’ai pas fait affaire.  Bizarre vous avez dit bizarre.

 Heureusement, le matériel n’est pas encore été retiré. Mais la police refuse de faire quoi que ce soit prétextant qu’il s’agit d’un litige commercial et qu’en plus même si je suis au courant du problème, tant que ne suis pas re débité je ne subis pas directement de préjudices donc il n’y a pas lieu d’intervenir.

Je leur indique pourtant qu’une personne est sensée venir retirer le matériel, un officier s’y intéressera mais sentant le manque évident de convictions de sa part, je laisse tomber et accepte ce nouveau coup dur.

 A noter que personne ne se présentera jamais pour retirer le matériel.

 

 Résultats : Mon mois de Novembre s’annonce mal, je vois mes perspectives de rattraper mon année avec les fêtes s’envoler, mes relations avec ma banque deviennent compliquées, car le matériel en stock dévalue de semaine en semaine, le découvert se creuse également, et je commence à manquer de solutions.

Heureusement, ma conseillère bancaire Madame P. me soutient plus que jamais et monte au créneau à plusieurs reprises vis-à-vis de sa hiérarchie pour m’éviter le retrait de mes moyens de paiements, et une interdiction bancaire potentielle.

18 janvier 2009

Le boulot reprend !

L’activité repart plutôt bien à partir du mois de septembre, les affaires à faire sont au rendez vous, et un proche m’ayant aidé à obtenir un peu de trésorerie de la part de ma banque, je peux me remettre à acheter du matériel et je redéveloppe mon activité sur le web.

L’activité en magasin n’est pas extraordinaire, nombreuses sont les journées à zéro de CA et malheureusement avec la crise mondiale déclarée, cela n’arrange rien.

Mais je reste confiant sur mon activité sur le web car les premiers résultats se font sentir en quelques jours, et je regagne moral et confiance pour la suite.

 

 Je ne verrais pas passer les mois de Septembre et d’octobre, mes journées commençant vers 7H00 pour se finir à plus de 21 voir 22H00, ce 7j sur 7.

18 janvier 2009

La vie est un long fleuve, qui a dit tranquille ?

Nous sommes au mois d’Avril , je reprends mon travail au magasin, il y a beaucoup à faire pour regagner la confiance de la clientèle, le fait d’avoir été fermé tout de suite après l’ouverture ne me facilite pas la tâche, je ne suis plus crédible !

Autant sur le plan de la maintenance j’ai de l’activité, que sur les ventes presque rien. Comme me l’a si justement souligné un client : « comment vous faire confiance, car si j’achète un pc neuf avec une garantie de un an, qui me dit que vous serez encore là dans quelques mois pour assurer le support en cas de défaillance du produit ? … » Tout est dis !

J’essaye donc d’avancer en me persuadant que le vent finira par tourner en ma faveur. Cette affaire me coûte beaucoup, sur le plan personnel, rien ne va plus car financièrement quand ça va pas, rien ne va, et sur le plan pro je suis rincé : j’ai perdu la confiance de certains fournisseurs, je ne dispose plus d’encours pour travailler, je peine à payer mes factures en temps et en heure, la descente aux enfers s’amorce peu à peu.

 

La situation restera très tendue à tout point de vue jusqu’en septembre.

18 janvier 2009

Il ne faut pas être pressé !

                J’ai pris le partie de ne plus m’occuper de ce problème avec la Mairie, j’ai embauché un avocat qui prend contact par courrier avec le Maire.

Monsieur J. mettra plus d’un mois à répondre pour dire en substance qu’il faut redéposer une déclaration préalable de travaux.

J’apprends également par une cliente Madame SI. qu’elle avait au moment des élection municipales en Mars, interpellée une des têtes de liste de Monsieur J. , et celle-ci lui aurait répondu en parlant au nom de Monsieur J. qu’il faudrait me faire comprendre qu’il ne faut pas être pressé pour ouvrir son commerce sur la commune.

Il faudra m’expliquer ...

18 janvier 2009

Et ça continue de plus belle !!!

Une semaine se passe et je reçois deux recommandés, le premier concerne le fameux arrêté qui me permet d’être ouvert et de valider la sécurité et l’accessibilité, le second est une lettre de Monsieur L. qui refuse le dossier déposé le 12 Mars, en effet il indique que la date limite de dépôt est dépassée (à savoir le 28 Février), il le savait donc déjà lorsque nous nous sommes déplacés avec Monsieur CB, il nous a sciemment menti et envoyé dans "les choux", et nous revoilà au point de départ.

Nouvelle ironie : l’arrêté d’ouverture valide le changement de devanture commercial, pourtant Monsieur L. me demande toujours de reproduire un nouveau dossier, et il me refuse toutes mes demandes d’enseigne, alors qu’il a défini lui-même les conditions de couleurs, etc..  

Bref on continu de me presser pour me faire craquer. Mais dans quel but ? Qui tire les ficelles de cette affaire ? Quel est l’effet recherché ? Dois-je attaquer la ville au tribunal ?

Un ami boulanger m’expliquera quelques jours plus tard qu’il n’est pas impossible que cet immeuble soit assujetti à une démolition, en effet un promoteur lui aurait proposé une boutique sur plan dans le cadre d’une nouvelle construction. Il apparaît évident que si cette information est vérifiée, je comprendrais mieux que l’on m’empêche de travailler dans de bonnes conditions et de développer mon fond de commerce. Ce n’est pas dans l’intérêt de qui que ce soit de payer une indemnité d’éviction en rapport avec un bon CA …..

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